dimanche 7 avril 2019

Quatro pour un seul pendulaire

Ce dimanche, est une journée rêvée pour faire du motorisé, ou tout du moins nous n'avons pas identifié de site de vol libre praticable pour un vent d'Ouest, vent d'ouest, qui avantage supplémentaire est glacial...

Nos moyens de voler sont très étendus avec 2 pendulaires, une motorisation auxiliaire delta , un paramoteur et 3 voiles de parapente.

A l'arrivée sur le site nous constatons que le cultivateur exploitant le champ de bout de piste a largement contribué au développement de l'aviation ultralégère en déposant des amoncellements de produits d'amendement, destinés à créer un turbulateur de bout de piste et à forte emprunte olfactive. Le  but est bien de fiabiliser l'atterrissage, le pilote étant réveillé en finale par la conjonction d'une
bonne secousse et d'une odeur qui fouette.


Le paramoteur ira faire sa petite ballade dans le Vexin, scotché à 15 km/h face au vent et allant dûment vérifier que personne ne vole en libre sur le site de Saint Clair sur Epte.

Les rencontres en l'air seront rares et lointaines, ici l'Alizé donne l'impression de vouloir atterrir sur la route.


On ne manquera pas d'aller survoler aussi la carrière qui semble grignoter inexorablement une base de pratique de paramoteur.

Sur les 3 machines s'apparentant à des pendulaires, une seule volera. Le delta motorisé ropulcim restera sur le toit du minibus, son propriétaire ayant eu un grande accès de paresse après avoir joué à la méduse en paramoteur. Le monotrace attendra son aile Fuji, bloquée dans les hangars pour une sombre histoire de clefs embarquées par un pilote.

De ce fait, nous serons 4 à nous asseoir à chacun notre tour sur le siège de l'Alizé pour des promenades plus ou moins longues comme en témoigne la vidéo

BdlB

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