Le campement des passionnés sur un bout de l'aérodrome:
Tous les niveaux de sophistication: du Swift caréné jusqu'à ce beau Minimum
Et celui-ci encore plus splendide
Et aussi ce vieux chariot Ikel avec le Patrol d'époque
La chaleur lourde rendait l'activité quasi nulle et les spectateurs totalement absents.
Je comprends maintenant pourquoi, les organisateurs n'ont pas été enthousiasmés par ma proposition de les assister pour les bi au treuil qui étaient plus ou moins prévus.
Pourtant, il y avait matière à un événement très intéressant, mais l'activité ressemble malheureusement plus à celle d'une secte en fin de vie qu'à un mouvement plein d'avenir.
Ce qui ne retire rien à la sympathie qu'inspirent les derniers des Mohicans, mais laisse présager un avenir sombre pour le vrai vol à motorisation auxiliaire.
jes suppose que la seconde photo de minimum est la photo du minimum de Jean
RépondreSupprimercela mettrait un peu de fantaisie d'exposer nos ropulcim avec laché de roues sur le public
BdlB
Bonjour,
RépondreSupprimerNous n'avons pas pour habitude de répondre systématiquement à des propos désobligeants à l'endroit de notre association et de ses membres. En général ils qualifient bien ceux qui les tiennent.
Depuis sa création, il y aura 20 ans en 2013, l'APPULMA est habituée. Quand ils viennent quasi systématiquement du même "système" vertical de type "stalinien"(fédéral et une presse insipide aux ordres), cela nous honore.
Faut-il le rappeler pour les faux mal-voyants, notre rassemblement annuel - toujours fixé sur la période du 12 au 15 août, c'est le choix des adhérent(e)s depuis ne nombreuses années - est un rassemblement PRIVÉ, au sens où il ne s'agit pas d'une manifestation aérienne PUBLIQUE avec son cortège de contraintes et de règles à respecter. Pour la conformité avec la réglementation, il est donc fort heureux qu'il n'y ait pas de public. C'est la raison pour laquelle la modeste promotion de ce rassemblement n'est opérée que dans le milieu aéronautique et non dans les bistrots du coin...
Par ailleurs, son étalement sur 4 jours permet aux pilotes qui ne peuvent pas être là pendant toute la période de venir voler puis repartir conformément à leur planning professionnel, ou familial ou autre. C'est ainsi que cette année, par exemple, des pilotes de paramoteur sont arrivés le samedi matin et sont repartis le dimanche après-midi en raison de leur obligation de travailler le lundi.
Ainsi, si vous aviez été participant durant les 4 jours (au fait, votre Ropulcim est en panne ?), vous auriez vu en réalité beaucoup de PULMA... et de pilotes partager notre état d'esprit. Tel, par exemple, celui venu en vol de Strasbourg le dimanche avec son Alizé lesté de son matériel de camping et reparti le mercredi toujours en vol.
Alors, un peu de probité intellectuelle ne peut pas faire de mal. Mais nous savons bien que dans certains petits milieux très formatés, c'est manifestement un trop gros effort...
Bons et beaux vols prudents,
Régis Cottet
Président de l'APPULMA
Bonjour Régis,
SupprimerJe me permets de répondre à ton post car je pense qu'il y a erreur sur la personne quant aux propos désobligeants, Christian Bourdeau faisant partie des grands défenseurs de notre cause commune, le vol Ultra lèger. Sans les amis du club DPCNP, dont Christian est un membre plus qu'actif, AEF ne défendrait pas le flambeau de ce type de vol fabuleux, mais en grave danger de survie, qu'est le vol en PULMA.
Cette modeste incurcion dans vos échanges, car j'étais heureux de voir que Christian avait pu me représenter un tant soit peu à ce rassemblement formidable de passionnés, aux qualités humaines qui ne lui ont certainement pas échappé, alors que je ne pouvais m'y rendre.
Tout ceci devra donc, pour l'honneur, se règler au mousquet à l'Aube dans une clairière entre Poitier et senlis, communiquez nous les dates !
A bientôt.
Gérard
Puisque l'écrire une fois ne suffit apparemment pas, je réitère la manifestation de ma sympathie et je peux même rajouter celle de mon admiration envers tous ceux qui portent à bout de bras le mouvement de la motorisation auxiliaire.
RépondreSupprimerQuant au diagnostic sur l'état de santé du mouvement, c'est un constat qui n'engage que moi, ce n'est pas un souhait ou une dénonciation.
D'une certaine façon, c'est peut être une bonne chose que ça ne vire pas au cirque comme le FestiVentu, Basse Ham ou la Coupe Icare, je crains simplement que ça ne se sclérose comme l'Aspic.
Si le Minimum 78 était bien celui de Jean, il va pouvoir nous faire une relation de l'événement autrement plus intéressante que celle d'un passant dont le séjour a été écourté en raison d'une panne mécanique.
A bientôt, avec la manifestation de mon soutien et celui de tout le club.
Christian