Une météo peu engageante lors de l'arrivée d'une partie du groupe ce jeudi après midi à Saint Hilaire pour la cinquantième coupe Icare.
Mais il ne s'agissait que de monter, à l'abri des intempéries, le stand de nos 2 multinationales préférées .
Une météo peu engageante lors de l'arrivée d'une partie du groupe ce jeudi après midi à Saint Hilaire pour la cinquantième coupe Icare.
Mais il ne s'agissait que de monter, à l'abri des intempéries, le stand de nos 2 multinationales préférées .
Dernier vol ce mercredi 13 septembre de notre ami Jean Marie.
Le tout dernier vol a eu lieu lors de la sortie du 1er novembre 2011. Voici un extrait du compte rendu de l'époque : "Jean Marie qui a toujours voulu faire du cross est servi. Décollant très correctement, le voilà en vol en direction de l'immanquable aérodrome du Chevalet (2 pistes de 400 et 600 m de long, 80 metres de large, disposées en croix) avec toutefois l’indication de se poser sur la partie triangulaire dévolue aux libéristes. Benoit décolle 10 minutes plus tard, se pose et s’enquiert de la position de Jean Marie. Nous faisons le tour de l’Aérodrome et des alentours, mais pas d’indication. Un coup de téléphone sur son portable nous annonce sans surprise que l’appareil est éteint. Les témoignages des quelques observateurs ne concordent pas. Etant sur un aérodrome nous demandons à un pilote de moto planeur (un superbe Lambada) de nous renseigner au cours de son vol d’observation. Mais il ne voit rien et nous conseille de déclencher les secours (en clair appeler le 112 pour un survol d’un hélicoptère de la sécurité civile). Nous sommes sur le point de lancer l’appel (presque 3 heures après le début du vol) lorsque Jean Marie nous arrive en auto stop et pas trop conscient de l’émoi soulevé. Jean Marie s’est posé dans un champ un bon kilomètre après le terrain, invisible depuis le plateau. Il a ouvert un instant son portable mais s’est aperçu qu’il n’avait pas les numéros des copains, puis a replié son aile et s’est débattu pour rentrer en auto stop. Jean Marie nous éxplique qu’il n’a pas vu l’attero, trop préoccupé par la position inhabituelle de son harnais".