ce dimanche dans le Vexin, en dépit des jours qui raccourcissent et de la grisaille réfrigérante, fût une belle et longue journée: plusieurs machines furent essayées et une meute de pendulaires se plut à visiter une base ULM voisine.
la vidéo est là https://vimeo.com/142862721
prise à partir de 4 caméra différentes (à ce propos, le propriétaire de la Kodak Sport est prié de remettre la bonne date et la bonne heure).
à 10 heures, la base est bien déserte mais cela ne va pas durer
une petite lueur d'espoir pointe
un travail de jardinier, ici, contrairement à ce qu'on redoute dans l'aviation, on peut casser du petit bois
essai au sol d'une machine qui a hiberné pendant plus d'un an
contrairement à l'habitude, c'est le Ropulcim le premier prêt
et qui regarde ses petits camarades se préparer
la machine équipée de la belle hélice tripale ne volera que plus tard
l'Alizée "Snoopy"
et l'autre Alizé
de retour avant le déjeuner
est le nouveau Pollini 125... Non il s'agit d'un vélo de descente
notre locomotive teste l'efficacité des hélices. En revanche la magnifique demonstration de ski se heurte à un problème de contraste photographique entre le ciel et le sol.
arrivée de la meute sur la base de Flavacourt
retour en croisant à proximité de la ville de Gisors
un gros bourdon (très petit sur la photo) fait des ronds autour du ropulcim
un pilote de biplace essaye un monolace léger mais véloce
un essai de paramoteur ou le pilote se prend pour un kiteur. L'enquête est en cours pour déterminer si en supplément du couple moteur, il s'agit de précession gyroscopique et ou de poussée dissymétrique de l'hélice
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dimanche 18 octobre 2015
dimanche 11 octobre 2015
Carré d'as en Valois
Le regroupement se fait assez vite puisque nous ne sommes que 4.
En effet, nous accueillons Olivier qui a l'avantage de venir d'un autre club ce qui ne dégradera pas nos statistiques en cas de carton.
Cette plaisanterie n'est toujours pas fine, mais elle sert de plus en plus souvent.
Nous nous installons sur un terrain obligeamment indiqué par le maître des lieux, car celui que j'avais repéré est investi par une chasse à courre.
Laurent est le premier à accrocher sa berline qui fréquente généralement plutôt les paradis fiscaux que les terrains labourés au bout du câble puis lui même.
Ce qui lui donnera l'occasion de faire son premier TSV (treuil sans visibilité) car il traverse 2 nuages avant d'atteindre son apogée.
Les vols s'enchaînent ensuite, incrémentant rapidement le carnet de treuilleur de Benoît.
La qualité des vols augmente avec l'expérience, au point que les plus téméraires en viennent à simuler des fautes de pilotes débutants, sans doute pour stimuler les défenses du treuilleur.
On voit alors des contrôles de dérive un peu approximatifs, des tours de frein non résolus, des largages avec la commande frein en main, des sous estimation de la vitesse du vent fort en approche et même quelques pompages où l'inesthétique le dispute à l’inefficacité et des assises de parkinsonien sous extasy pour rendre fou le stabilisateur d'image de YouTube.
Les qualités du treuil, des treuilleurs et des voiles modernes démontrent la sécurité du système en laissant ces fautes bénignes au rayon des anecdotes.
La séance se termine dès 14h, car les parisiens, sans doute éprouvés par la rusticité du lieu et le manque d'oxyde de carbone sont impatients de retrouver la douceur des pénates.
C'est dommage car il reste encore un jouet dans le coffre, en effet, le club que les hiérarques fédéraux voulait faire disparaître car ils le trouvaient trop petit, est sûrement un des seuls en France à disposer simultanément de 2 treuils.
La petite route fermée à la circulation que nous avions investie se serait bien prêtée à ce complément de formation au dévidoir, mais ce n'est que partie remise.
Les derniers présents se livreront au désormais traditionnels échanges de GigaOctets qui permettront de réaliser au plus vite la relation fidèle de cette belle et fructueuse journée présentée ci-dessous, destinée à donner envie aux absents de participer à la prochaine édition.
CB
dimanche 4 octobre 2015
Le petit tour des Noyers
Dans une atmosphère voilée par une brume épaisse au dessus des basses couches, Octave décide de faire un tour de chauffe de son pendulaire avant de procéder au baptême d'un de nos invité.
Pas d'activité thermique, un vent régulier de 20 km/h et des conditions calmes offrent la possibilité au pilote de s'amuser un peu en volant prés du sol. Le vocabulaire technique impose l'expression "faire du radada".
Alors que les augustes travailleurs de la terre s'emploient le dimanche, nous volons paisiblement au dessus de leurs champs.
Octave en totale fusion avec les éléments et sa machine.
Peu de nos frères humains ont conscience de l'engagement nécessaire pour voler. Malgré une température clémente frisant la fraîcheur, le pilote de retour au sol aurait bien besoin d'une bière rafraîchissante.
La vidéo embarquée:
Petit tour des noyers from yann lem on Vimeo.
YLM
Pas d'activité thermique, un vent régulier de 20 km/h et des conditions calmes offrent la possibilité au pilote de s'amuser un peu en volant prés du sol. Le vocabulaire technique impose l'expression "faire du radada".
Alors que les augustes travailleurs de la terre s'emploient le dimanche, nous volons paisiblement au dessus de leurs champs.
Octave en totale fusion avec les éléments et sa machine.
Peu de nos frères humains ont conscience de l'engagement nécessaire pour voler. Malgré une température clémente frisant la fraîcheur, le pilote de retour au sol aurait bien besoin d'une bière rafraîchissante.
La vidéo embarquée:
Petit tour des noyers from yann lem on Vimeo.
YLM
Brouillard et soleil en Vexin
Une arrivée trop matinale sur le terrain nous expose à une belle nappe de brouillard
Quoi de mieux qu'un engin motorisé qui vole en dessous de la nappe
Vers 11h30 une déchirure semble se profiler
Ce n'est pas encore le grand beau
Mais on peut trouver quelques trouées de ciel bleu
Allo quoi ?!!
J'irais bien survoler les lacs
Sarot se régale à l'avance de déchiqueter sa balle
Le départ d'un Minimum
Un vol impérieux d'un modèle radiocommandé de voilure tournante
Mayday! Mayday !, les deux rotors sont rentrés en collision
Alléluia, la voile monte toute seule par miracle
Une grâce sublime pour ce parapentiste tout comme pour cette Dyna Panhard
C'est du sport, le moteur est un peu enroué mais finira par démarrer

La vidéo est ici (l'autre est dans l'article de Yann)
BdlB
Quoi de mieux qu'un engin motorisé qui vole en dessous de la nappe
Vers 11h30 une déchirure semble se profiler
Ce n'est pas encore le grand beau
Mais on peut trouver quelques trouées de ciel bleu
Notre base préférée
Allo quoi ?!!
J'irais bien survoler les lacs
Sarot se régale à l'avance de déchiqueter sa balle
Le départ d'un Minimum
Un vol impérieux d'un modèle radiocommandé de voilure tournante
Mayday! Mayday !, les deux rotors sont rentrés en collision
Lolo ne semble pas bien maitriser une voile d'entrée de gamme. De plus il décourage tous les élèves sur le qui tentent de gonfler leur voile ce dimanche
Alléluia, la voile monte toute seule par miracle
Une grâce sublime pour ce parapentiste tout comme pour cette Dyna Panhard
C'est du sport, le moteur est un peu enroué mais finira par démarrer

La vidéo est ici (l'autre est dans l'article de Yann)
BdlB
vendredi 2 octobre 2015
Dévidoir troisième séance
En dépit de l'hostilité des travailleurs franciliens qui persistent à aller travailler avec leur voiture, ce qui retarde le regroupement de tous les participants qui porte maintenant sur un périmètre de 170 km.
En effet un autre club de la région parisienne nous a demandé notre assistance pour se former en urgence afin d'être en mesure de réaliser un ambitieux projet de démonstration au dévidoir.
La chaleur de leurs remerciements, gage de leur gratitude, conditionnera évidemment les futures assistances bénévoles que nous serons menés à accomplir pour promouvoir cette technique prometteuse.
En effet un autre club de la région parisienne nous a demandé notre assistance pour se former en urgence afin d'être en mesure de réaliser un ambitieux projet de démonstration au dévidoir.
La chaleur de leurs remerciements, gage de leur gratitude, conditionnera évidemment les futures assistances bénévoles que nous serons menés à accomplir pour promouvoir cette technique prometteuse.
La structure est en place vers 10h30, le vent n'est pas aussi fort que prévu mais il est orienté un peu à gauche du chemin qui était idéalement axé suivant les prévisions.
Le dévidoir montre qu'il est un peu plus exigeant pour la technique de gonflage que le treuil fixe car on ne peut disposer de l'angle quasiment constant de la traction et surtout du fait de faire durer la pré-tension le temps que le pilote se décide ce qui permet également de décoller en douceur sur l'élasticité du câble.
Mais avec un treuilleur attentif, ça devient un exercice qui permet de faire monter peu à peu le niveau technique en toute sécurité.
Il faut se départir de l'attitude du pilote de montagne qui doit emmener volontairement sa voile sur l'axe de décollage imposé par la topologie.
Pour adopter celle du pilote de plaine qui délègue complétement au treuilleur l'application de la tension en se contentant d'amener sa voile équilibrée le plus rapidement possible à l'incidence de vol, la direction exacte se recalant automatiquement quand le câble se déroule.
Cette attitude étant d'ailleurs exactement celle du pilote de paramoteur.
Ensuite il suffit de réduire le creux du câble qui indique la dérive pour trouver la combinaison des vecteurs vitesse qui indique un vol sans dérapage par rapport à l'air, quelle que soit l'impression que donne la voile par rapport au sol.
Nous étions dans un cas-école, car la composante travers bien que faible était systématique de gauche comme le démontrait la poussière et la chute du câble.
Donc la voile ne devait rester face au vent météo que le temps du gonflage sous peine de traverser le chemin et de remonter au vent de plus en plus en dérapage, comme Laurent en a fait la déplaisante expérience.
On notera que le fait de relâcher la tension permet un atterrissage de vol libre indépendant de la direction du treuil.
Il convenait donc de se laisser doucement décaler sur sa droite au cours de la montée.
La vidéo montre bien l'évolution entre un vol qui part latéralement que le treuilleur doit impérativement relâcher et la trajectoire idéale où il peut appliquer toute la tension.
Si en plus le pilote résiste à la tentation de se jeter dans la sellette, on en arrive à des vols exemplaires comme chacun a pu en faire avant la fin de la séance.
CB
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