Après un court briefing sur la procédure d'atterrissage sur la plage de l'hôtel et le fonctionnement des trackers, nous nous retrouvons dans l'antique bus Mercedes
Forest, le chauffeur, est un garçon très sympathique qui a toutes les qualités sauf peut-être celles de savoir conduire un diesel de moins de 100 ch avec une boîte manuelle et de parler américain avec un accent suffisamment mauvais pour que nous le comprenions
Ce qui donnera lieu à des séquences de conduite homériques où le passage des vitesses était décidé démocratiquement à la majorité qualifiée ce qui a transformé notre recherche du site le moins mal adapté en une gigantesque séance plénière de l'ONU
Après un tour de l'Argolide qui nous a ramené en des lieux déjà fréquentés
Nous optons pour Peter's paradise où nous retrouvons une vieille connaissance
qui avait enfin réussi à se débarrasser du job d'appoint dans la com que lui avait imposé Roland
Le vent au décollage suffit à calmer les plus timorés, courageusement Michel se met en vol ou plutôt est mis en vol par sa voile
avant de reprendre le bon sens
et de prendre l'ascenseur du dynamique
La suite du vol ne sera qu'une lutte (victorieuse) contre le vent
Personne ne s'y opposant vraiment nous allons déjeuner et retourner à l'hôtel
Personne ne s'y opposant vraiment nous allons déjeuner et retourner à l'hôtel
Benoît en profite pour récupérer sa Tsampa qui ne lui a pas trop manqué, dans un institut de beauté (?), il en profite pour montrer son caractère insoumis en réalisant un spectre de Pepper sans doute en référence à une conversation ancienne
Le soir, nous récupérons Jean-Louis puis entamons la visite des nombreuses et recommandables tavernes du port en commençant par Perivoli
Le chemin par la plage nous donnera l'occasion de rencontrer en ces lieux où le moindre débarcadère est en marbre massif, un pêcheur de pieuvre francophone ce qui nous conditionnera pour commencer notre cure de céphalopode
---> Suite de l'Expédition grecque
BdlB + JP + CB
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