C'est le moment du retour à Tirana pour aller reprendre l'avion du retour, tout le monde étant réparti entre voiture de loc et minibus suivant les risques estimés de la circulation dans la capitale.
Il n'y a plus qu'à aller chercher Jean-Louis dans sa chambre et à embarquer.
En dépit des inquiétudes, ce dernier transport se fera sans histoire.
Par contre, la galère reprend pour René et Philippe, dont la compagnie avait décidé de leur faire parcourir le maximum de km avec le maximum d'escales puis de les surbooker au dernier moment.
Ils ne devront qu'à notre vigilance de ne pas voir égarer le parapente de René qui se trouvait inexplicablement sur les tapis du terminal à Orly avec les nôtres alors qu'il aurait dû être en transit vers leur lointaine province avec eux.
De l'avis général du groupe qui fit durer les adieux à Paris pour le prolonger, ce séjour fut une réussite mémorable.
Les quelques aléas climatiques étant facilement admis par des pilotes de vol libre à la longue expérience, ils ont pu être compensés par l'organisation de Julian et la topographie de l'Albanie qui ont quand même permis à chacun de faire 7 à 8 vols dans des paysages splendides et de bonnes conditions et de découvrir un pays attachant avant que l'évolution de la société ne le standardise.
BdlB CB
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